chapitre premier:Mercredi 12 janvier 2003 - 7h05 du matin:
le soleil n'est toujours pas levé sur Marseille. Le conducteur du bus n° 15 arrive devant son vehicule. Il ouvrit la porte de son autobus tout en bayant et en pensant à ses futures vacances avec sa petite famille.
Que du bonheur ! Il se voyait déjà, les pieds dans l'eau et le visage éclairé par le soleil flambloyant. Sa femme assise sur un transat avec un sirop grenadine à la mains, son préféré. Sa petite fille courant vers lui avec une pelle et un rateau pour faire un chateau de sable. Ha, le fameux chateau de sable, que sa fille lui rabaché sans arrêt depuis des jours.
"je veux que l'on fasse un chateau de sable lorsque nous serons la-bas..."
"Et oui, lui retorquais notre chauffeur de bus, tu l'auras ton chateau de sable"
Hélas, ce qui ne savait pas, c'est que sa fille n'aura jamais son chateau de sable.
chapitre 2:Notre chauffeur fit le tour de son vehicule de fonction. Un geste qui faisait tout les jours. Faire le tour du bus pour voir s'il y avait pas des objets puis nettoyer les sieges.
Au bout de quelques minutes, il se positionna sur son siege et leva la tête vers une horloge qui était situé sur un pylone en face du bus et qui indiqué l'heure pour les conducteurs et les potentiels passagers.
Un brouhaha arriva de derriere son bus.S'ayez, se dit-il, les premier passagers de sa journée arrivaient comme d'habitude en courant de peur de manquer leur bus. Le départ était prévus à 7h11.Le départ pour plusieurs stations et surtout un départ pour plusieurs arrêts...est surtout un. L'arrêt qui redouté le plus. L'arrêt qui l'empêché de dormir défois. Il eu un frisson lorsqu'il pensa à cet arrêt. Mais, il mit sa peur de côté et sourit...comme d'habitude aux passagers qui se présentaient à lui.
"Bonjour, monsieur"
"Bonjour madame"
"Est-ce que ce bus va bien à St Loup ?"
"Oui madame"
"Merci monsieur"
Les passagers arrivaient par flot de trois ou quatre. Il regarda l'horloge pour ne pas être en retard.
7h10, bientôt le départ.
Il démarra le moteur afin de prévenir les passagers à l'interieur du bus et surtout les passagers qui etaient à l'extèrieur en train de fumer une cigarette, que le bus allait partir.
Le bruit du poinssonage du ticket de bus martelait ses oreilles comme pour lui dire c'est bon, tu es à ton travail maintenant, ne dors plus.
Au bout de quelques secondes, il ferma les portes de l'autobus et demarra. Lorsqu'un coup vint résonné sur la carcasse du bus.
(to be continued)